Sécurité sécurité

Arrêtez de fantasmer sur les s"urvies dynamiques", elles n’ont jamais existées autre par que dans les rêves de certains.
Le terme même de « survie dynamique » est une hérésie car, on est en situation de survie lorsque justement on est plus
dynamique.
Les quelque expériences en la matière se sont transformées en cirque ou en cascade .
la survie est une question de constitution physique,de mental et d'état d'esprit en non de matériel.

je suis pret à débatre sur le sujet lors de la journée sécurité SAIL-THE-WORLD le 15 et 16 mai à PARIS.
Etienne Feller

Allez, pouf, pouf, Google est ton ami.
"tender inflatable CO2" et en moins de 5 minutes, on trouve par exemple :

http://www.tinkerinflatables.com/

Il ne faut pas s'attendre à trouver trop de choses en Français, parce que notre réglementation n'homologue pas ce genre de
trucs...

Leur modèle "tramp standard" avec "survival pack" pèse environ 40kg et mesure 1m10 x 0m55 x 0m43 . Pas forcément facile à
caser sur un Mumu...

http://www.tinkerinflatables.com/

C'est pas tellement le côté "dynamique" qui les intéresse ici, mais le "2 en 1" (annexe et survie).

les deux, les deux mon colonel

Toutes les survie réusites sont partient avec les deux .(survtout dans le Pacifique)
l'annexe pour le dynamique en traction et en orientation et le radeaux de survie pour se refugier et protéger l'humain.

codialement
etienne feller

Bravo,
votre site est trés bien organisé, et mon second bateau a été construit à l'houmeau!! Par un certain Malquit qui a écrit un livre
sur sa navigation australe.
Bon sur le site:
les haubans et tout ce qui tient sans bouger, ça bouge pas c'est dormant; pourquoi du spectra en courant?; c'est classe mais
cher, a moins qu'on ne le vous l'offre.
Un bon ship qui fait l'entretien de bateau vous refilera des km de drisses et écoutes encore bonnes lorsqu'il font les
maintenances de bateau.

Le sika c'est bon,
Avec 2 gps un sextant en plastique suffit, d'autant qu'il faut les ephemeriques ou alors vous les imprimiez à partir du bon logiciel
disponible sur ce site.
Pour le changement des boulons de quille, attendez-vous à en baver un peu, mais c'est formateur et utile.
Aout septembre pour prépare le bateau , c'est court avec votre liste, bon je travaille un peu lentement c'est vrai.
Revoir la fiche technique: longueur 5.5m flotaison 6.4m?

Pour la survie dynamique je joue comme les autres: la bib (à cause des autorités) et pour la tranquilité + l'annexe mais j'ai un
gros bateau.
Bon courage et von vent.

http://perso.wanadoo.fr/argonaute-expedition//Passage.htm

Le site web donne confiance et la preparation est cohérente. Pour ma aprt j'ai effectué ma premier experience de voile et de
croisiere sur un muscadet de ponant loisirs à paques 73. On est rentré de guernesey à Treguier avec un méchant coup de vent
impromptu (annoncé au niveau des roches douvres par france inter mais inconnu pour la eteo de Guersnsey) Force 8 confirmé
avec rafales de neige. on a eu 2 fois le mat dans l'eau mais le bateau était tres sécurisant malgre sa taille. Cependant choisir un
bateau en bois de 30 ans ajoute au challenge par rapport au poly.
Quelques remarques : courant en spectra, bof
Sextant totalement inutile
Pourquoi pas de pilote ? à 2 avec des traversées tres longues vous allez souffrir inutilement.
SInon bravo et bonne chance
Jean

www.first285.com/atlantic

> Pas de pilote

Oui, mais ils prévoient un régulateur d'allure. Et ils ont raison, AMHA. C'est pas très clair sur le site (parce qu'ils insistent sur
le "pas de pilote", peut-être pour dramatiser l'affaire)...

Sinon, pour le dossier et la préparation, j'ai trouvé ça bien fait aussi, c'est ce qui me pousse à essayer de contribuer quelques
indications (pour ne pas dire conseils). Le coup de l'association qui "soutient cette initiative" est un peu transparent, c'est
évident que c'est un montage ad-hoc, mais bon, c'est de bonne guerre...

En réponse à : > Il ne faut pas s'attendre à trouver trop de choses
> en Français, parce que notre réglementation

> n'homologue pas ce genre de trucs...

Erreur bien compréhensible, et qui est maintenue par les professionnels. En fait, la survie "dynamique" existe. Sa norme
d'homologation existe. Il s'agir de la norme issue de la "division 333", le fameux radeau (introuvable) de la Classe IV... !

DIVISION 333 - ENGINS COLLECTIFS DE SAUVETAGE

Edition du 19 MAI 2000, parue au J.O. le 26 MAI 2000

A jour de l'arrêté du 22/02/02 - J.O. du 12/03/02

Article 333-2.05 Spécifications des radeaux de sauvetage gonflables de la classe IV Un radeau de sauvetage gonflable de la
classe IV doit satisfaire aux conditions suivantes : (Extrait de l'article, les principales caractéristiques typiques de la classe
dynamique)

*** 2. Avoir des formes et des proportions qui lui permettent une stabilité et une flottabilité suffisantes à la mer avec la tente en
place. Le rapport longueur/largeur ne doit pas être supérieure à 2,5 avec une largeur minimale hors tout de 1,50 mètre. ***

5. Etre muni d'une tente que l'on puisse mettre en place manuellement : 5.1. La tente de couleur rouge orangé à l'extérieur doit
avoir une hauteur minimale de 0,50 m au-dessus du fond. 5.2. La tente doit porter sur sa surface extérieure des plaques de
matériaux rétroréfléchissant la lumière et renvoyant les ondes radar, répondant aux prescriptions des alinéas 3.5, 3.6 et 3.7 de
l'article 333-2.02. 5.3. La tente doit être inamovible et efficacement protégée lorsque le radeau est utilisé en annexe. 5.4. La
tente dressée doit pouvoir protéger efficacement les occupants contre les intempéries.

*** 8. Le radeau gonflé flottant en position renversée doit pouvoir être rapidement redressé par une seule personne. ***

*** 12. Le radeau doit assurer son déplacement par des pagaies ou des avirons avec dispositif de nage. ***

Cordialement

PS : Je joint la division 333 en format PDF, qui est téléchargeable sur le site du Secrétariat d'Etat aux Affaires Maritimes

www.ddbd.com/Radeaux.html

Petite restriction à l'utilisation du Dynamique, pour l'instant:
la Division 224 n'autorise le classe IV (dynamique) qu'en 3ème catégorie.

Pourquoi plus cette catégorie qu'une autre? Encore un dossier que STW va tenter d'éclaircir. Quitte à se fendre d'un sacré
lobbying pour clarifier la division 224 (toujours applicable).
Cordialement

Bonne remarque, Ariel. D'ailleurs voir une discussion passée sur le sujet à : http://faq.frbateaux.net/Discussion52.html

A noter que dans le cas de cette "aventure en Muscadet", le côté réglementaire ou non est le cadet de leurs soucis (puisque de
toutes façons il est hautement improbable qu'ils obtiennent l'autorisation de surclasser leur Mumu en 1ère cat).

http://faq.frbateaux.net/Discussion52.html

Cette histoire de survie dynamique, en même temps Arlésienne et bouteille à encre des plaisanciers, c’est pour moi un combat
d’arrière garde, initié il y a très longtemps par les cadres du centre des Glénans, qui pouvait se justifier à une époque où en cas
de naufrage, il fallait surtout compter sur soi-même, peu de navires de plaisance disposants de moyens radios efficaces pour
espérer qu’un MAY DAY serait entendu. C’est d’ailleurs le principal argument qu’utilisaient les défenseurs de ce type de radeau,
argument qui pouvait être recevable… il y a vingt ans. Mais plus aujourd’hui. Les temps ont changés et les techniques aussi.

La tendance, actuellement, c’est la balise SARSAT avec éventuellement GPS intégré, à couverture quasi mondiale, qui fait qu’on
viendra vous chercher, si vous la déclenchez, presque n’importe où. Peut-être pas au milieu du Pacifique, et encore… L’alerte
est rapide, la localisation très précise, et s’il existe un cas connu où le déclenchement d’une alerte SARSAT a été très mal traité
par les centres de secours compétents, c’est un cas unique, une erreur (un drame) de jeunesse sans doute.

Dans ces conditions, l’idée même que le radeau soit dynamique est saugrenue, elle est même en opposition totale avec la réalité,
avec les techniques actuelles. D’autant, mais cela personne ne semble s’en rendre compte, qu’un radeau dynamique, qui par
définition ne peut être rond, n’offre pas la même sécurité dans le gros temps (stabilité) qu’un radeau circulaire fermé par une
tente. C’est important aussi.

Bien sur, il y aura toujours des originaux pour prétendre ne pas embarquer de balise mais un radeau dynamique. Laissons les à
leur originalité est soyons sérieux : des groupes puissants mais néanmoins compétents, des gouvernements, et même des
commissions internationales mettent en place des accords mondiaux pour faire fonctionner un nouveau système de sauvetage
en mer, plus efficace, plus rapide, moins cher (pour eux). Aller à l’encontre de cela est un combat d’arrière garde, un combat
passéiste, et –pardonnez moi, c’est ridicule.

Si nous devons mener une action pour améliorer les choses en ce domaine, ce serait plutôt une lutte contre le prix bien trop
élevé des balises SARSAT, qui ne sont tout de même pas à la portée de tout le monde, ce qui est scandaleux. Leur prix est
scandaleux. Battons nous là-dessus, mais pas pour une idée qui n’a jamais dépassé le stade de la réflexion, qui n’a jamais eu de
succès auprès des institutions, et qui n’a plus de sens aujourd’hui, si tant est qu’elle en ait eu un, un jour.

Cordialement.

JM, de dis pas que tu as tort, mais tu es hors-sujet dans ce fil. Personne ici ne parle de "se battre" pour le concept de survie
dynamique.

Encore une fois (relis les posts de nos apprentis-aventuriers en Muscadet), le problème pour eux n'est pas que la survie
soit "dynamique", mais qu'elle fasse double usage annexe et survie.

C'est une question de place et de poids embarqué, pour une entreprise bien spécifique.

> Quitte à se fendre d'un sacré lobbying pour clarifier la division 224 (toujours applicable).

Ariel, c'est le moment ou jamais, la D224 est en cours de ré-examen...

http://www.premier-ministre.gouv.fr/ressources/fichiers/cim160204_dp.pdf

(je cite)

Il est demandé au ministre chargé de la Mer, en lien avec la filière nautique, de présenter pour fin juin 2004 :

- une adaptation de la division 224 de l’arrêté du 23 novembre 1987, relative à la réglementation
sécurité des navires de plaisance de moins de 24 mètres, tenant compte des propositions du
Conseil supérieur de la navigation de plaisance et des sports nautiques ;

(fin de citation)

http://www.premier-ministre.gouv.fr/ressources/fichiers/cim160204_dp.pdf

Ce débat prouve que les projets "créatifs" sur des bateaux considérés comme petits pour leur projet de voyage obligent à sortir
des solutions de routine.
On a du mal a imaginer un radeau classe 2 de 65 kilos sur un muscadet de 1000 ou à peu pres. Peut etre un radeau classe II 4
places interdit en france mais disponible en espagne en particulier. leur idée de survie dynamique est intelligente mais peut etre
pourraient ils envisager des réserves de flottabilité gonflables en sus ?
Enfin leur aventure sera susceptible d 'etre suivie et de soulever un certain interet si il est possible de les suivre à la trace. dans
ce cas il n'y a pas photo et je ne connais que le magellan gsc 100 (service orbcomm) pour communiquer par email 24 heures sur
24 avec des messages de 2000 caracteres maximum. l'envoi est pratiquement immédiat. l'appareil faisant également gps cela
réglera leur probleme de gps de secours. (cout neuf 400 €, sur ebay de 100 à 250.
cela a très bien fonctionné entre chicago et rome et en principe leur couverture est mondiale (voir avec eux ils sont tres sympa).
le service cout 30 dollars canadiens par mois donc pas grand chose. Avec le magellan vous pouvez inclure votre position dans
chaque email si vous le voulez. cela a permis à mon épouse et à ma filel de nous situer tous les jorus sur le routier de l'atlantique
nord. Dans le cas du muscadet c'est leur seule chance, à mon avis, d'interesser durablement les gens. si il y a une carte postale
tous les 3 mois ...

Voila
Jean
http://www.mysatmail.com/orbcomm.htm

www.first285.com/atlantic

http://www.mysatmail.com/orbcomm.htm

Il semble qu'il y ait confusion entre survie classe IV qui peut faire office d'annexe et survie dynamique qui est un concept
entièrement différent puisque pouvant se déplacer aussi bien au moteur (quoique l'autonomie carburant en limite rapidement
l'autonomie), à l'aviron ou à la voile.

Il y a 30 ans, quand la 3è catégorie était à 100 milles d'un abri, avec mon edel VI, j'avais un classe IV. Ce n'était qu'une
annexe pouvant servir de survie avec une bouteille de gonflage à percution manuelle.

Par contre, le concept de survie dynamique a servi à Patrick Van God et sa compagne au large du Brésil quand son Trismus a
été percuté par une baleine.

Il s'agit de deux concepts complètement différents.

A l'évidence, un classe IV serait une bonne solution sur un canote de la taille du Muscadet.

Quoique, la meilleure solution serait peut-être encore de rendre le bateau insubmersible ! et étanche comme une bouteille !

André-François

Je vous remercie pour votre interet sur la question et toutes vos remarques !!!!!!!!!! ca nous aide a avancer
Pour nous, l'idée de la survie dynamique est le 2 en 1, Mais vue la taille du Muscadet : est il neccessaire d'emmener un engin de
sauvetage sur un engin de sauvetage ??????? Sachant que notre préparation technique doit nous ammener a avoir un bateau
aussi fiable qu'une survie

Les contrainte que nous avons sont énormes : place / poids / cout / efficacité réel au niveau du matériel de sécurité
'Ainsi, le bateau sera étanche (traitement epoxy) ........ mais pour l'insubmersibilité nous reflechissons, condanné les seuls
coffres disponible .... difficile rangement du matos

Mais tous l'interet de notre défi est là : Comment effectuer 13 000 Milles en Muscadet a 2 en restant simple sans etre
inconscient .......... Ca merite a réflechir
A bientot PIerre

http://antipodes.aventure.free.fr

Effectivement, si votre canote est rendu insubmersible (pour vous car dans votre cas, toute notion d'homologation c'est un
peu le sexe des anges, on s'en fout complètement), si vous jugez avoir besoin d'une annexe, un tas de petis engiins pas
lourds et pas encombrants existent sur le marché, sans aller jusqu'à la chambre à air de camion de Moitessier.

Pour l'insubmersibilité, il est nécessaire de faire le calcul du volume nécessaire et peut-être n'est-il pas nécessaire de
se priver de deux coffres en répartissant les volumes dans la totalité du bateau le long des parois comme sur les "etaps".
Pour l'équivalent diu cout d'un bib on peut faire pas mal de choses en se creusant un peu les méninges.

Concernant l'étanchéïté "totale", mon principal souci est la descente. Je doute que le seul sika soit la solution sur un
panneau à glissière conventionnel. La seule solution réellement étanche me semble être un grand panneau de pont comme sur
les vias. dérivés du trismus de Patrick Van God.

Votre projet est complètement marginal, mais très intéressant. Les frères Berque ont bien traversé l'Atlantique sur un
dériveur de 4 mètres et quelques construit de leur mains en bois moulé.

André-François