Voyage autour du Monde - Olivier Mesnier -
Présentation du livre, Tome 1 """Accomplir un jour le tour du monde à la voile compte toujours au nombre des rêves mythiques de l’homme occidental.
Il s’agit souvent d’une œuvre humaine majeure dans la vie de ceux qui l’ont osée. Si cette aventure ne représente plus un exploit maritime, elle reste tout de même une belle entreprise personnelle et familiale aux retentissements imprévisibles et multiples, dont le récit permet d’approcher la réalité, de mûrir un projet similaire, ou simplement de perpétuer le rêve...
Les lecteurs que ce sujet passionne sont nombreux.
En 2009, mon épouse et moi avons fait le choix de quitter nos emplois respectifs et notre vie sédentaire pour partir effectuer un tour du monde à la voile de 3 ans, à bord d’un catamaran prototype reconditionné et allongé à 51 pieds (15,50 mètres). Nous avons embarqué dans cette aventure nos deux enfants, Marin et Adélie, âgés au départ de 11 et 10 ans. Mon fils aîné, Timothée, accaparé par ses études de médecine, est venu nous rejoindre à trois reprises...
Ce voyage de 3 années et 36 541 milles autour du monde nous a emmenés dans des lieux aussi différents que les îles Selvagens, Santo Antao ou Sao Nicolau, les deltas du Siné-Saloum et de la Casamance, les rochers Saint-Paul, les îles du Salut ou l’archipel des San Blas, Panama et les Perlas, les Galapagos, les Gambier et les Tuamotus, Tahiti et Bora Bora, Maupiti et Mopélia, l’atoll de Suvarov, l’île de Niue, et Tofua, aux Tongas. Nous avons, entre mille autres choses, vécu la fête de la Tabaski à Ehidj, fait une escale rare en plein Océan Atlantique, secouru un voilier abordé par des cachalots à l’approche du Brésil. Nous avons pêché malgré nous 7 requins d’un coup dans l’atoll d’Amanu aux Tuamotus, analysé les mécanismes hydrauliques de la passe redoutée de Maupiti, assisté à la mort d’un voilier sur l’île déserte de Kelefesia.
Nous avons retrouvé la grotte refuge du Capitaine Bligh, à Tofua, nous avons nagé avec les baleines à bosses, aux Ha’apai. Impuissants, nous avons été poussés sur un récif de corail par un grain d’une extrême violence, de nuit au mouillage, à proximité de l’îlot désert de Limu Island (Tongas). Mais, seuls, nous avons pu retrouver les eaux saines et, quelques semaines plus tard, nous pédalions, heureux, sur la piste de l’Otago Central Rail Trail. Nous étions parvenus au pays du long nuage blanc. Kia Ora Aotearoa ! La Nouvelle-Zélande, pour un arrêt technique, et une escale verdoyante de 5 mois. Avant…
Avant de reprendre la mer. Laquelle nous réservait, bien sûr, de nouvelles aventures ! """
Il s’agit souvent d’une œuvre humaine majeure dans la vie de ceux qui l’ont osée. Si cette aventure ne représente plus un exploit maritime, elle reste tout de même une belle entreprise personnelle et familiale aux retentissements imprévisibles et multiples, dont le récit permet d’approcher la réalité, de mûrir un projet similaire, ou simplement de perpétuer le rêve...
Les lecteurs que ce sujet passionne sont nombreux.
En 2009, mon épouse et moi avons fait le choix de quitter nos emplois respectifs et notre vie sédentaire pour partir effectuer un tour du monde à la voile de 3 ans, à bord d’un catamaran prototype reconditionné et allongé à 51 pieds (15,50 mètres). Nous avons embarqué dans cette aventure nos deux enfants, Marin et Adélie, âgés au départ de 11 et 10 ans. Mon fils aîné, Timothée, accaparé par ses études de médecine, est venu nous rejoindre à trois reprises...
Ce voyage de 3 années et 36 541 milles autour du monde nous a emmenés dans des lieux aussi différents que les îles Selvagens, Santo Antao ou Sao Nicolau, les deltas du Siné-Saloum et de la Casamance, les rochers Saint-Paul, les îles du Salut ou l’archipel des San Blas, Panama et les Perlas, les Galapagos, les Gambier et les Tuamotus, Tahiti et Bora Bora, Maupiti et Mopélia, l’atoll de Suvarov, l’île de Niue, et Tofua, aux Tongas. Nous avons, entre mille autres choses, vécu la fête de la Tabaski à Ehidj, fait une escale rare en plein Océan Atlantique, secouru un voilier abordé par des cachalots à l’approche du Brésil. Nous avons pêché malgré nous 7 requins d’un coup dans l’atoll d’Amanu aux Tuamotus, analysé les mécanismes hydrauliques de la passe redoutée de Maupiti, assisté à la mort d’un voilier sur l’île déserte de Kelefesia.
Nous avons retrouvé la grotte refuge du Capitaine Bligh, à Tofua, nous avons nagé avec les baleines à bosses, aux Ha’apai. Impuissants, nous avons été poussés sur un récif de corail par un grain d’une extrême violence, de nuit au mouillage, à proximité de l’îlot désert de Limu Island (Tongas). Mais, seuls, nous avons pu retrouver les eaux saines et, quelques semaines plus tard, nous pédalions, heureux, sur la piste de l’Otago Central Rail Trail. Nous étions parvenus au pays du long nuage blanc. Kia Ora Aotearoa ! La Nouvelle-Zélande, pour un arrêt technique, et une escale verdoyante de 5 mois. Avant…
Avant de reprendre la mer. Laquelle nous réservait, bien sûr, de nouvelles aventures ! """
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